Presse

PRESSE ERIC KAIJA GUERRIER

 

Dans cet onglet en deux parties, vous trouverez une brève sélection d’articles de presse parus, d’une part consacrée aux travaux d’Éric Kaija GUERRIER, d’autre part consacrée au groupe Weepers Circus. La liste weepersienne n’est évidemment pas exhaustive : il a fallu faire des choix sur les centaines d’articles publiés entre 1988 (date de naissance du groupe) et 2013 (date de départ d’Éric Kaija GUERRIER du groupe).

PRESSE WEEPERS CIRCUS

 

« Ménagerie psychédélique et numéros de vedettes. » Télérama, 30 novembre 2013.

« À travers leur chanson, les Weepers Circus prouvent que le rock français peut être excellent ! » Les Inrockuptibles, 22 mai 2013.

« Malgré des mélodies parfois graves et sombres, on obtient un mélange électro-rock original. » Clémentine Mallet, Guitar Part, janvier 2012.

« Un feu d’artifice musical qui donne une pêche d’enfer ! » Astrapi, avril 2010.

« Nouvelle parade et numéro de prestidigitation sonore plutôt bien réussie. » Françoise Jallot, Accordéon & Accordéonistes, septembre 2009.

« Ces alsaciens qui réenchantent le monde. (…). Les disques des Weepers Circus sont autant de fantaisies musicales, traversées de réalités oubliées et de mondes enchantés. Une bonne claque dans les oreilles. » Jérôme Galichet, Le Monde, 31 mars 2008.

« Les morceaux souvent en état de grâce, doux ou incisifs, aux guitares irritées ou à l’accordéon gracile, forment un répertoire charpenté et versatile, et l’on croise au détour de chansons les voies amies d’Irène Jacob, d’Oliva Ruiz et de Mathias Malzieu. Un bel album très abouti. » Gilles Médioni, L’Express, 24 janvier 2008.

« Zoom sur un groupe de scène à découvrir de toute urgence ! (…). Moquant les puissants ou chantant la révolte de ceux que l’on qualifie improprement d’anormaux, le Weepers Circus vous invite à un carnaval sonore, à une procession onirique non dénuée d’une certaine dimension sociale. » Carine Duspeaux, Elle, 27 novembre 2006.

« Avec son cinquième album, ce groupe attachant développe une poésie plus raffinée. » Femme Actuelle, 10 avril 2006.

« Parmi les musiciens francophones, il y a Weepers Circus et les autres : ce groupe de l’Est de la France qui officie depuis quelques années déjà, laisse tout le peloton à un quart d’heure au général grâce à des paroles, de vraies paroles, qui tiennent plus de la poésie que de la prose, ce qui soulage quelque peu les oreilles et le cerveau. » Thomas Baltès, Guitar Part, décembre 2005.

« Dès la première écoute, c’est un enchantement ; tout y est, les textes superbes, les musiques travaillées et leurs fusions passionnelles et pertinentes. (…). Plaisir assuré. » Christian Chagot, Francofans, novembre 2005.

« Depuis 1988, les cinq strasbourgeois de Weepers Circus se sont imposés dans cette nouvelle scène française férue de chanson. » Hervé Moisan, Rock’n’Folk, novembre 2005.

« Musique à voir, à danser et à reprendre en chœur entre chansons à geste, rock mélangé, chanson a capella, rap, ballades (…). Chansons d’amour, surréalistes, poésie, mélancolie ou brandissant des revendications, l’esprit de fête s’installe autour du cirque des gens qui pleurent. » Muguette Berment, Le Dauphiné Libéré, 9 novembre 2005.

« L’émotion et la dérision étant au rendez-vous d’un spectacle qui fera date. » Daniel Daucourt, Le Pays, 3 octobre 2004.

« Le groupe chemine avec élégance et virtuosité. » Le Bien Public, 20 septembre 2004.

« Les Weepers transcendent leur monde dans un univers poétiquement imagé. » Baptiste Monnot, Le Progrès, 10 septembre 2004.

« Les Weepers Circus, quant à eux, n’ont rien perdu de leurs envies d’évasion. » 20 Minutes, 7 mai 2004.

« Et quand sur leur album on retrouve une chanson qui s’intitule La renarde – qui est un duo [avec Olivia Ruiz, ndlt :] – et qui fait planer l’ombre presque spectrale de Juliette Gréco, on se dit que ces gens-là sont des gens totalement à part ! » Billet de présentation du Weepers Circus par Didier Varrod (co-présentateur avec Jean-Louis Foulquier), lors de l’émission Pollen – Les Copains d’abord (France Inter), enregistrée le 4 février 2004 et diffusée le 27 février 2004.

« Dans un registre plus « médiévalo-comique », ce sont eux qui le disent, les Strasbourgeois multi-instrumentistes de Weepers Circus se sont spécialisés dans une chanson loufoque aux textes à tiroirs que ne renieraient pas MC Solaar. » Philippe Barbot, Télérama, 31 janvier 2004.

« Le cabaret est roi. De l’humour et de la bonne musique ! » France Soir, 2 décembre 2003.

« Weepers Circus, c’est de la belle chanson française, ciselée et rock, juste comme il faut. (…). À ne pas louper ! » La Provence, 2 octobre 2003.

« À découvrir absolument ! (…) » Télérama, 20 septembre 2003.

« Les Weepers, c’est un look (barbichettes, boules à zéro) et un style reconnaissable entre tous, à la fois ludique et grave. » Stéphanie Thonnet, Chorus – Les cahiers de la chanson, automne 2003.

« De la chanson festive qui sort des sentiers battus. À découvrir. » Télérama, 24 mai 2003.

« Le Weepers Circus revient avec un spectacle musical dynamique. Cinq musiciens pour une galerie de portraits savoureuse. » La Croix, 22 mai 2003.

« Leur créneau, ce sont les portraits joliment brossés et les histoires brillamment mises en scène. » Anne-Sophie Jarrige, Le Point, 16 mai 2003.

« Le mieux peut être l’ennemi du bien. Auteurs d’un précédent album excellent, les Strasbourgeois du Weepers Circus en font ici un peu trop, chargeant leur univers onirique d’un bien grand bavardage ou encore d’une clarinette lassante, ne laissant que quelques oasis bienvenues (…) pour reposer l’oreille. » Michel Troadec, Ouest France, 11 mai 2003.

« Un groupe strasbourgeois mêlant joliment folk tendance Malicorne et tempos voyageurs, au son des violes, violons, clarinette et flûte irlandaise. Soyeux, élégant, séduisant. » Anne-Marie Pacquotte, Télérama, 2 mai 1998.

« Qu’ils écrivent leurs propres textes rabelaisiens, interprètent une chanson traditionnelle (…) ou un poème de François Villon, les Weepers Circus mettent le feu à leurs instruments acoustiques dont le bois nous réchauffe drôlement. » Le Parisien, 28 avril 1998.

« Le Weepers Circus réinterprète la vieille idée de chanson française, avec un goût profond pour la Renaissance et une nette propension à la plaisanterie. » Le Figaro, 21 avril 1998.

« Ces Alsaciens se réclament du folk, et leur musique, loin des traditions locales, louche vers l’Irlande, entre autre. Leur cocktail est original, avec un parti pris poétique déclaré, entre médiévalisme un peu cliché et vraies envolées. » Libération, 20 avril 1998.

 

PRESSE WEEPERS CIRCUS

 

« Ménagerie psychédélique et numéros de vedettes. » Télérama, 30 novembre 2013.

« À travers leur chanson, les Weepers Circus prouvent que le rock français peut être excellent ! » Les Inrockuptibles, 22 mai 2013.

« Malgré des mélodies parfois graves et sombres, on obtient un mélange électro-rock original. » Clémentine Mallet, Guitar Part, janvier 2012.

« Un feu d’artifice musical qui donne une pêche d’enfer ! » Astrapi, avril 2010.

« Nouvelle parade et numéro de prestidigitation sonore plutôt bien réussie. » Françoise Jallot, Accordéon & Accordéonistes, septembre 2009.

« Ces alsaciens qui réenchantent le monde. (…). Les disques des Weepers Circus sont autant de fantaisies musicales, traversées de réalités oubliées et de mondes enchantés. Une bonne claque dans les oreilles. » Jérôme Galichet, Le Monde, 31 mars 2008.

« Les morceaux souvent en état de grâce, doux ou incisifs, aux guitares irritées ou à l’accordéon gracile, forment un répertoire charpenté et versatile, et l’on croise au détour de chansons les voies amies d’Irène Jacob, d’Oliva Ruiz et de Mathias Malzieu. Un bel album très abouti. » Gilles Médioni, L’Express, 24 janvier 2008.

« Zoom sur un groupe de scène à découvrir de toute urgence ! (…). Moquant les puissants ou chantant la révolte de ceux que l’on qualifie improprement d’anormaux, le Weepers Circus vous invite à un carnaval sonore, à une procession onirique non dénuée d’une certaine dimension sociale. » Carine Duspeaux, Elle, 27 novembre 2006.

« Avec son cinquième album, ce groupe attachant développe une poésie plus raffinée. » Femme Actuelle, 10 avril 2006.

« Parmi les musiciens francophones, il y a Weepers Circus et les autres : ce groupe de l’Est de la France qui officie depuis quelques années déjà, laisse tout le peloton à un quart d’heure au général grâce à des paroles, de vraies paroles, qui tiennent plus de la poésie que de la prose, ce qui soulage quelque peu les oreilles et le cerveau. » Thomas Baltès, Guitar Part, décembre 2005.

« Dès la première écoute, c’est un enchantement ; tout y est, les textes superbes, les musiques travaillées et leurs fusions passionnelles et pertinentes. (…). Plaisir assuré. » Christian Chagot, Francofans, novembre 2005.

« Depuis 1988, les cinq strasbourgeois de Weepers Circus se sont imposés dans cette nouvelle scène française férue de chanson. » Hervé Moisan, Rock’n’Folk, novembre 2005.

« Musique à voir, à danser et à reprendre en chœur entre chansons à geste, rock mélangé, chanson a capella, rap, ballades (…). Chansons d’amour, surréalistes, poésie, mélancolie ou brandissant des revendications, l’esprit de fête s’installe autour du cirque des gens qui pleurent. » Muguette Berment, Le Dauphiné Libéré, 9 novembre 2005.

« L’émotion et la dérision étant au rendez-vous d’un spectacle qui fera date. » Daniel Daucourt, Le Pays, 3 octobre 2004.

« Le groupe chemine avec élégance et virtuosité. » Le Bien Public, 20 septembre 2004.

« Les Weepers transcendent leur monde dans un univers poétiquement imagé. » Baptiste Monnot, Le Progrès, 10 septembre 2004.

« Les Weepers Circus, quant à eux, n’ont rien perdu de leurs envies d’évasion. » 20 Minutes, 7 mai 2004.

« Et quand sur leur album on retrouve une chanson qui s’intitule La renarde – qui est un duo [avec Olivia Ruiz, ndlt :] – et qui fait planer l’ombre presque spectrale de Juliette Gréco, on se dit que ces gens-là sont des gens totalement à part ! » Billet de présentation du Weepers Circus par Didier Varrod (co-présentateur avec Jean-Louis Foulquier), lors de l’émission Pollen – Les Copains d’abord (France Inter), enregistrée le 4 février 2004 et diffusée le 27 février 2004.

« Dans un registre plus « médiévalo-comique », ce sont eux qui le disent, les Strasbourgeois multi-instrumentistes de Weepers Circus se sont spécialisés dans une chanson loufoque aux textes à tiroirs que ne renieraient pas MC Solaar. » Philippe Barbot, Télérama, 31 janvier 2004.

« Le cabaret est roi. De l’humour et de la bonne musique ! » France Soir, 2 décembre 2003.

« Weepers Circus, c’est de la belle chanson française, ciselée et rock, juste comme il faut. (…). À ne pas louper ! » La Provence, 2 octobre 2003.

« À découvrir absolument ! (…) » Télérama, 20 septembre 2003.

« Les Weepers, c’est un look (barbichettes, boules à zéro) et un style reconnaissable entre tous, à la fois ludique et grave. » Stéphanie Thonnet, Chorus – Les cahiers de la chanson, automne 2003.

« De la chanson festive qui sort des sentiers battus. À découvrir. » Télérama, 24 mai 2003.

« Le Weepers Circus revient avec un spectacle musical dynamique. Cinq musiciens pour une galerie de portraits savoureuse. » La Croix, 22 mai 2003.

« Leur créneau, ce sont les portraits joliment brossés et les histoires brillamment mises en scène. » Anne-Sophie Jarrige, Le Point, 16 mai 2003.

« Le mieux peut être l’ennemi du bien. Auteurs d’un précédent album excellent, les Strasbourgeois du Weepers Circus en font ici un peu trop, chargeant leur univers onirique d’un bien grand bavardage ou encore d’une clarinette lassante, ne laissant que quelques oasis bienvenues (…) pour reposer l’oreille. » Michel Troadec, Ouest France, 11 mai 2003.

« Un groupe strasbourgeois mêlant joliment folk tendance Malicorne et tempos voyageurs, au son des violes, violons, clarinette et flûte irlandaise. Soyeux, élégant, séduisant. » Anne-Marie Pacquotte, Télérama, 2 mai 1998.

« Qu’ils écrivent leurs propres textes rabelaisiens, interprètent une chanson traditionnelle (…) ou un poème de François Villon, les Weepers Circus mettent le feu à leurs instruments acoustiques dont le bois nous réchauffe drôlement. » Le Parisien, 28 avril 1998.

« Le Weepers Circus réinterprète la vieille idée de chanson française, avec un goût profond pour la Renaissance et une nette propension à la plaisanterie. » Le Figaro, 21 avril 1998.

« Ces Alsaciens se réclament du folk, et leur musique, loin des traditions locales, louche vers l’Irlande, entre autre. Leur cocktail est original, avec un parti pris poétique déclaré, entre médiévalisme un peu cliché et vraies envolées. » Libération, 20 avril 1998.